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Parakou, la ville la plus cosmopolite du Bénin

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Écrit par : Administrator
Catégorie : Blog
Publication : 4 juillet 2022
Affichages : 43

Parakou, connue sous le nom de la cité des Kobourou, est une ville située au nord-est du Bénin. Elle est limitée au sud, à l'est et à l'ouest par la commune de Tchaourou et au nord par la commune de N'Dali. La commune de Parakou a connu une très forte croissance démographique lors du recensement de 2013 environ 255477 habitants.

En effet, la plus grande ville urbanisée du Nord Bénin, Parakou représente le chef-lieu du département du Borgou. La ville de Parakou est un carrefour et un centre d'affaires du septentrion. C'est d'ailleurs l'une des quatre communes à statut particulier après Cotonou, Abomey-Calavi et Porto Novo.

La cité des Kobourou dispose d’une université créée depuis septembre 2001 avec 1.558 étudiants contre 20.492 en 2021. Elle est dotée aujourd’hui de11 entités de formation avec 16 laboratoires de formation et de recherche.

La cité des Kobourou est une ville cosmopolite du pays, elle est demeurée fidèle à son nom kpaara klu qui signifie`` la ville de tout le monde'' en Dendi. Le royaume de Parakou abrite un important palais royal, celui de Kobourou. Situé au quartier sinagourou, ce palais royal est une importance pièce du système impérial du peuple Baatonu. En face du palais, deux géants baobabs symbolisent la grandeur du royaume.

Ensuite, Parakou est une ville où nous pouvons passer du temps, quels que soient nos goûts en matière de divertissement. Elle dispose de quatre grands ronds-points aménagés en place publique pouvant accueillir chacun une certaines personnes. Il s'agit ; la place Hubert Maga, elle est située à l'entrée sud de la ville en hommage au premier président de la République du Bénin. Cette place accueille de nombreux événements et caravane. Le carrefour Mathieu KEREKOU est situé à la sortie ouest de la ville en hommage à l'ancien président du Bénin, le Général Mathieu KEREKOU ; suit la place Bio Guerra représente le héros de la lutte contre la colonisation et enfin le rond-point Papini, situé non loin de la place Bio Guerra, il doit son nom à l'hôtel Papini qui fait face au carrefour. En plus des monuments, on peut contempler les peintures de Coteb l'ancienne usine textile située sur la route de Djougou menant vers le Burkina Faso

Enfin, le commerce est la principale activité de Parakou depuis plusieurs siècles, l'agriculture urbaine joue également un important rôle. La ville abrite la plus grande industrie textile du Bénin. Par exemple usine d'égrenage de coton, Coteb. Terminons avec le chemin de fer censé de relier Cotonou- Niamey, les rails se sont arrêtés à Parakou.

Guima kinnou OROU DOUAROU ✍️✍️✍️✍️✍️

Parakou : ambiance à l'autogare d'Albarika

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Écrit par : Administrator
Catégorie : Blog
Publication : 4 juillet 2022
Affichages : 44

L’auto-gare d’Albarika est l’un des parcs de la ville de Parakou le plus animé. Il est situé sur l’axe Parakou-Djougou non loin de la Cour d’Appel «Nord-Ouest ». C’est un lieu permettant aux compagnies d’autocars d’assurer un service centralisé aux voyageurs. L’auto gare d’Albarika laisse constater une atmosphère remplie de bus, de taxi, et un marché qui s’anime tous les jours.

6h à 20h est l’heure de décollage des bus et taxi a l’auto gare d’Albarika de Parakou. Déjà à 5h30min, les moteurs des machines sont mis en marche, ce qui laisse entendre les bruits assourdissants des moteurs occasionnant la pollution sonore et atmosphérique par le biais des gaz rejetés. Au même moment, un petit marché inconnu s’anime tous les jours, les vendeuses mettent en place leurs étalages pour assurer la restauration des voyageurs. Du côté des automobiles les chargeurs de part et d’autre vont à la rescousse des clients (voyageurs), d’autres chargeurs restent déjà à 100m du parc dans l’espoir de gagner plus de personnes (voyageurs) et le plutôt possible.

Cependant, les chargeurs des différentes compagnies n’échappent pas aux querelles conduisant aux coups de points parce qu’ils sont payés en fonction du nombre de client(voyageurs)qu’ils apportent aux différentes compagnies et également en fonction de leurs rapidités à trouver la clientèle, ce qui pousse certains chargeurs à faire recours à la violence en estimant qu’ils sont les premiers à voir ou appeler le client (voyageur).

A l’autre bout du parc, les vendeurs ambulants circulent un peu partout ce qui n’est pas sans danger car les bus et taxis empruntent ses voies pour prendre départ. L’atmosphère du parc devient ainsi chargée, des bruits, des percussions, des cris, etc.

Cause des mouvements, les usagers de la route craignent pour leur vie. Ils sont exposés aux accidents de circulation à la hauteur du parc de l’auto gare d’Albarika à cause du stationnement anarchique des véhicules de transit de certains conducteurs de taxi.

Dans la recherche effrénée de l’argent, certains conducteurs de taxi devant stationner dans l’enceinte du parc de l’auto gare d’Albarika ne le font pas. Ils prennent désormais le plaisir de garer anarchiquement à l’entrée du parc sous le regard joyeux de leurs contrôleurs, compromettant la circulation sur l’axe Parakou-Djougou. L’une des principales raisons qui pousse les chauffeurs à agir ainsi est sans doute le refus de s’acquitter des droits de place ou autres taxes liées. Pourtant, cela peut causer des embouteillages et même des accidents de circulation. Le respect du code et des règles de sécurités routières doivent être de mise. Les responsables du parc doivent prendre des mesures pour régulariser cette situation. Le recrutement des agents de sécurités doit être également mis en place pour mettre un terme à ce stationnement anarchique à la devanture d’un plus grand parc de la cité des Kobourou .

 

Kalissoumie BOUKARI ET ALASSANE Oubeidath

Scarification raciale : un signe particulier propre à chacun

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Écrit par : Administrator
Catégorie : Blog
Publication : 4 juillet 2022
Affichages : 41

Les scarifications raciales sont des incisions superficielles faites à la peau avec une lancette permettant d’identifier un individu. Ces scarifications raciales existent dans plusieurs ethnies. Elles sont d’une grande importance dans nos milieux respectifs. Dans l’ancien temps il suffit de voir cela pour savoir ce qu’elle famille localité et pays dont tu viens. Mais force est de constater qu’elles sont en voie de disparition dans cette génération.

Selon les dires de BANDIRI KATIGUI chercheur indépendant ; les scarifications raciales existent dans plusieurs ethnie. Chez les baatonu par exemples trois groupes d’individu font cette pratique. Il y a les WASANGARI BAATOBU ; LES BAATOBU AUTOCHTONE ET LES PAREMADES. Chacun de ces groupes a son type spécifique de cicatrice. C’est grâce à votre scarification que le grillot vous reconnaît rien qu’en voyant votre joue. Ces scarifications disparaissent parce que de plus en plus les religions endogènes sont en train de reculer par rapport aux religions importées. Ce sont ces apports extérieurs qui font que les cicatrices disparaissent. Cette pratique a aussi des conséquences sur la santé si elle n’est pas faite avec des instruments adéquats. Les personnes sont exposées à des maladies transmises par le sang car c’est la seule lancette qu’utilise celui qui le fait. Il faudrait que nous revenions à nos traditions; lorsque l’on ne porte pas ses cicatrices il a perdu son immatriculation et il sera difficile d’être reconnu par un grillot conclu le chercheur indépendant.



Parakou : IRSBAC, l’Université privée qui fait 100% aux examens nationau

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Écrit par : Administrator
Catégorie : Blog
Publication : 4 juillet 2022
Affichages : 45

Très discrète, l’université privée IRSBAC.COM peut pourtant, sans exagération, être considérée comme la meilleure. En effet, avec un taux de réussite de 100% dans toutes les filières à l’examen national de Licence professionnelle et de BAPES 2021, cet établissement d’enseignement supérieur est resté dans ses habitudes faites d’excellence avec des taux de réussite de 100% aux différentes évaluations organisées par l’Etat béninois.

En 2018-2019, les candidats présentés par IRSBAC ont occupé du 2è au 13è rang au plan national à l’examen national de BAPES Français sans oublier le fait que la candidate ayant ravi la première place a fait sa première année dans cet établissement avant de poursuivre ailleurs.

A ce jour, la plupart de nos étudiants qui se sont présentés aux concours organisés par l’Etat ont été sélectionnés, ce qui nous donne un taux d’employabilité honorable. En tout état de cause, l’ensemble de nos apprenants sont formés pour se prendre en charge au cas où ils ne seraient pas recrutés par un employeur.

Première université offrant les enseignements de journalisme et d’arts au nord Bénin, Irsbac est actuellement en sa 11e année d’existence. “Qui trop embrasse mal étreint”. Tirant leçon de cet adage, IRSBAC.COM a choisi, dès le début, de se focaliser sur des filières de choix mais porteuses. Il s’agit du journalisme, des lettres modernes, de la communication et linguistique, de la musique et des arts plastiques.

IRSBAC.COM offre aux apprenants un cadre d’étude convivial avec des infrastructures favorisant des activités culturelles et didactiques. En plus de vastes salles de classes, cette université dispose d’une radio-école entièrement équipée, des caméras de dernière génération, d’un podium, d’une grande variété d’instruments de musique, d’une salle informatique, d’un site web animé par les étudiants (actuellement en refonte), etc. Avec tout ce dispositif, les étudiants allient la théorie à la pratique et aux activités ludiques. De plus, elle constitue un cadre bilingue permettant aux étudiants de s’exprimer en anglais sans devoir débourser plus d’argent.

L’université privée IRSBAC.COM est située à Parakou, ville cosmopolite en plein développement. Avec ses dortoirs situés au 2e étage du bâtiment principal, elle accueille les étudiants venus de loin et désireux de s’y loger. Elle est implantée dans un quartier calme avec de nombreuses résidences à coût très abordable. Au regard de tout ceci, les étudiants qu’elle accueille proviennent de toutes les régions du Bénin.

Alassane IMOROU SANDA

Les perles, symbole intemporel de la femme

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Écrit par : Administrator
Catégorie : Blog
Publication : 4 juillet 2022
Affichages : 40

Les perles sont des objets de beauté portée en majorité par des femmes. Ce port des perles est en train de disparaître. A la question de savoir l’importance qu’ont les perles à la taille d’une femme, Monsieur Panri répond : « Une femme sans perles ce n’est plus la peine ». Il revient avec une explication : «  Chez nous, une femme sans perle est une femme à problème. Soit elle a perdu son mari soit son bébé ou elle est en phase de purification spirituelle ».

Ce port de perle a plusieurs sens. Pour Charles Alias coiffure : « Les perles permettent à la femme de séparer son corps supérieur à celui inférieur. Ce sont des perles qui donnent de la forme au derrière de la femme ». Il ajoute : « Dans les anciens temps, les perles sont des objets de séduction car le bruit que celles-ci faisaient attirait les hommes ».

Mais de nos jours certaines femmes n’en portent plus. « Je ne porte pas des perles parce que quand je perds le poids ces perles tombent, et si cela arrivait dans le public ? Il y a certaines perles qui sont claires dans la nuit et ça fait peur » selon Tanti Blanche.

Femme ! Porte les perles, elles font partie de notre culture.



Saba SANWEKOUA







Sécurité routière : la passerelle du marché Arzèkè abandonnée par les piétons malgré les risques

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Écrit par : Administrator
Catégorie : Blog
Publication : 4 juillet 2022
Affichages : 41

Erigée depuis puis pratiquement deux ans déjà et réceptionnée provisoirement par les autorités communales, cette infrastructure demeure toujours inexploitée. Les usagers dudit marché et premiers bénéficiaire de cette infrastructure qui permet de rejoindre l’autre côté de ce haut de commerce préfère escalader la barrière qui sépare la voie pour rejoindre l’autre côté du marché avec plusieurs risques. Ces usagers qui s’adonnent à cette mauvaise pratique, peuvent se faire renverser à tout moment par les motocyclistes et les véhicules qui roulent souvent à vive allure. Interrogé sur la question le Chef du Centre National de Sécurité Routière CNSR Borgou-Alibori Hilaire AFFOUKOU répond : « plusieurs séances de sensibilisations ont été menée en collaboration avec les agents de la Police Républicaine et les autorités municipale. » Et ajoute : « les bénéficiaires semblent jouer à la sourde oreille, bientôt une répression est annoncée pour mettre fin à cette mauvaise pratique.

Pour quelques usagers rencontrés en pleine escalade qui ont requis l’anonymat : «nous préférons escalader pour gagner du temps et c’est plus facile même si nous courrons des risques d’accident ».

Vivement que la répression annoncée change ce mauvais comportement pour le développement la troisième ville à statut particulier du bénin.



Hermann Hounsou et Rodrigue Anago

Sabi Naré : l'homme qui parle aux oiseaux

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Écrit par : Administrator
Catégorie : Blog
Publication : 4 juillet 2022
Affichages : 42

Un oiseau vous a-t-il jamais dit « Bonjour » ? Probablement, oui. Mais sans doute, vous ne l’avez pas remarqué. Chez Ousmane Sabi Naré au quartier Ladjifarani à Parakou, les oiseaux saluent chaque visiteur. En son absence, nous nous sommes rendus dans sa concession où il élève des dizaines d’oiseaux. A son arrivée, il nous a demandé si ses protégés nous ont salués. Naturellement nous étions surpris. Mais à chacun de ses gestes de salut, les oiseaux répondaient par des mouvements de têtes, de haut en bas. Nous avons remarqué qu’ils faisaient le même geste comme pour souhaiter la bienvenue à chaque nouvel arrivant.

Sabi Naré est un oiseleur. Son métier consiste à domestiquer des oiseaux. Plus qu’un métier, c’est une passion pour cet homme, la cinquantaine, qui parcourt la brousse à longueur de temps pour dénicher les rares perles avec lesquelles il tisse, plus tard, une véritable relation d’amitié. Au-delà de tout, il aime se faire bercer par le chant tout particulier des espèces qu’il affectionne, entre autres la tourterelle et le serin, une espèce de passereau appartenant à la famille des Fringillidae. L’oiseleur a accepté de nous en dire un peu plus sur sa passion. Lisez plutôt !!!

D’où vient cette passion ?

Né d’un père éleveur, il faut dire que cette passion est héréditaire mais plus grande que celle de mon père.

Quelles sont les catégories d’oiseau que vous élevez ?

Les serins, les tourterelles, les perroquets, les petits serins,…

Laquelle des espèces vous a plus marquée ?

Trois espèces m’ont plus marqué à savoir le serin, la tourterelle et le pigeon car ils sont tout le temps avec moi et je n’arrive pas à sortir sans l’un d’eux. Mais il faut dire que la population, en me voyant en compagnie de ces oiseaux, pense que je n’ai rien à faire.

Quelle réalisation avez-vous faites grâce à ce métier ?

Grâce à ce métier, j’arrive à subvenir aux besoins de ma famille et à mes propres besoins.

Etes-vous la seule personne à exercer ce métier dans la ville de Parakou ?

Nous sommes au nombre de 35 oiseleurs dans la ville de Parakou. Et nous avons formé un groupe d’oiseleurs où nous nous retrouvons chaque dimanche pour une concurrence en matière de cris d’oiseau.

Avez-vous initié quelqu’un d’autre dans ce métier ?

J’ai initié un ami qui est aussi fier de ce métier. Et je pense initier mes enfants quand ils seront grands puisqu’il y a des comportements à adopter face à ses oiseaux.

Quels sont ces comportements ?                              

Il s’agit beaucoup plus de choses à éviter, comme par exemple ne pas laisser que leur nourriture finisse ou que leur eau tarisse. Il faut être parfois à côté d’eux pour les amuser afin qu’ils s’habituent qu’ils s’habituent à toi. Si on initie tôt les enfants, ils ne vont plus étudier car c’est une passion et non une profession.

De quoi se nourrissent ses oiseaux ?

Ils se nourrissent avec du mil et du sorgho



Combien coûte ces oiseaux ?

Le prix varie de 3000f (petit serin) à 30.000f (tourterelle) un oiseau sans sa cage. Mais une tourterelle avec sa cage coûte 40.000f.

En cas de maladie, faites-vous recours à un vétérinaire ?

Oui, je fais recours à un vétérinaire qui me prescrit des produits que j’injecte dans leur eau à boire. Il y a aussi des traitements traditionnels à base des feuilles de Gymnanthemum amygdalina (vernonia) ou de Ocimum basilicum (basilic) qu’il faut triturer dans leur eau à boire ou simplement du sable fin ajouter à leur repas.

Quelles sont les difficultés que vous rencontrez dans ce domaine ?               

Je rencontre plus de problème chez les perroquets car en voyant leurs trous on a tendance à les confondre à celui des serpents, ce qui est dangereux. De plus lors de leur dressage, ils ont tendance à croire qu’ont leur veulent du mal d’où leur caractère agressif.

Propos recueillis par : Alassane IMOROU SANDA, Oubédatou ALASSANE et Josita Amirath YACOUBOU

L'étonnante galaxie d'Andromède

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Écrit par : Joomla
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Publication : 1 février 2022
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